De prime abord, Rubem Soarez a une gueule de voyou, de dur à cuire. Le genre de mec qui, en colère, te font changer de trottoir. Celui face auquel tu t'écrase et baisse les yeux. Bref, il impose le respect. Lorsqu'il se dévoile face à l'objectif, notre sentiment change : la peur fait place à l'admiration.